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La réalité en face

La réalité en face

Un des maux de notre époque, c'est le refus et l’interdiction de regarder la réalité en face et surtout de la décrire! c'est le Politiquement Correct qui l'empêche! Il conditionne la description et donc la perception du réel! Quand elle est "Non Idéologiquement Conforme", la réalité est occultée, tronquée, manipulée par les media.


"Marionnette d'EM" - Marlène SCHIAPPA, la "Secrétaire d'Etat à l'Egalité femmes-hommes" qui considère que "l'égalité femmes-hommes doit tenir compte de la spécificité des territoires" est un auteur de roman pornos!

Publié par Michael Jeaubelaux sur 10 Juillet 2017, 09:02am

"Les filles bien n'avalent pas" ! C'est le titre d'un des livres de Marlène SCHIAPPA... Nul doute que comme BELKACEM elle voudra lutter contre "les stéréotypes sexués" et "casser les codes"... Ouf! MACRON ne lui a pas confié l'Education Nationale!Elle était déjà la "catastrophe ambulante" du Gouvernement (elle a notamment déclaré qu'elle était pour le port du voile à l'école mais veut supprimer les émissions religieuses et la messe du Dimanche sur France 2!) , mais on apprend qu'elle serait aussi auteur de livre porno!

Combien de temps si l'info est vérifiée, Marlène SCHIAPPA pourra-t-elle rester au Gouvernement? Combien de temps les français toléreront-ils une telle imposture? ... dont la tête est pleine de clichés? 

ll suffit de lire la présentation de  pour être consterné par tant de clichés!

" Sara vit à Neuilly avec son fiancé, Amaury de Saint-Sauveur. Entre les brunchs avec ses copines futiles et son boulot à la fondation pour les Femmes du monde, dirigée par sa belle-mère, elle ne se sent pas à sa place et décide de gagner sa liberté. Afin de décrocher le job de reporter TV qui la mènera à l'indépendance professionnelle,- elle se fait passer pour une Marocaine vivant en Seine-Saint-Denis. C'est là que son chemin croise celui du mystérieux Djalil. Et si son salut se trouvait de l'autre côté du périph' ? Peut-elle décemment quitter sa vie confortable à Neuilly pour aller vivre avec ce banlieusard qui ne lui promet rien ?

Avec un ton irrésistible, féminin et drôle, découvrez un Roméo & Juliette version  érotico-moderne.Née dans les années 1980 à Neuilly-sur-Seine, Marie Minelli est scénariste de fictions sur le couple, chroniqueuse, blogueuse et auteure de guides sexo.

Elle a le don de saisir l'air du temps et de le faire passer aux lecteurs grâce à une plume actuelle, connectée, cultivée sans être pompeuse, féministe mais pas dogmatique "

 

LE PLUS. "Les filles bien ne draguent pas", "les filles bien ne couchent jamais le premier soir"... Les clichés sur la sexualité féminine ont la vie dure. Marie Minelli, scénariste et chroniqueuse érotique, a souhaité les dénoncer dans son dernier livre, "Les filles bien n'avalent pas", paru aux éditions La Musardine. Elle explique pourquoi. 

Édité et parrainé par Rozenn Le Carboulec

 

"Les filles bien n'avalent pas" : un cliché parmi tant d'autres sur la sexualité féminine (capture de la couverture du livre de Marie Minelli)

 

Les filles bien ne couchent pas le premier soir, prennent leur pilule à heure fixe, sucent pour faire plaisir à leur mec (car oui, les filles bien sont forcément en couple, hétérosexuel de préférence).Les filles bien ? Celles qu’on épouse, celles qui "se respectent", celles qui posent dans des pubs pour du shampooing. Les "futures mères de vos enfants". Mais la sexualité féminine est loin d’être aussi uniforme et prévisible ! Dans la réalité, il n’y a pas la fille qu’on présente à sa mère d’une part et celle qu’on aime pénétrer d’autre part. La dichotomie maman/putain devrait être aussi périmée que le retour de Sarkozy à l’UMP. Et pourtant…

Dans les contes de fées, les princesses ne sucent pas

Pourtant, dans mon roman, "Sexe, mensonges et banlieues chaudes", une comédie érotico-socio-romantique qui, malgré les qualificatifs pompeux que j’utilise, n’a d’autre prétention que celle de donner aux lectrices(teurs) envie de rigoler, réfléchir, et accessoirement aussi, mouiller leur culotte, je raconte l’histoire de Sara, héritière de bonne famille en transe face à Djalil, un banlieusard qui la prend dans un garage.

Réactions outrées des lectrices : "Ce n’est pas crédible ! Sara était une fille bien."Même chose lorsque des photos de Jennifer Lawrence nue sortent dans la presse : celle que l’on qualifiait de "petite fiancée de l’Amérique" poserait donc parfois en levrette avec son mec, comme Laure Manaudou pouvait en son temps poser avec une (petite) bite à la bouche.OH MY FUCKING GOD !

Dans les contes de fées, les princesses ne sucent pas !

Des clichés éculés sur la sexualité féminine

Alors, qui nous force à penser que les filles bien n’avalent pas ? Car les magazines féminins ont bon dos. Ils ne sont pas les seuls à véhiculer des clichés éculés sur la sexualité féminine.

Je cite dans "Les filles bien n’avalent pas" plusieurs cas estampillés, validés, tamponnés officiels-et-bien-pensants. Le Magazine de la Santé a présenté un reportage en collèges dans lequel on explique que "l’éjaculation faciale, c’est du manque de respect". Cliché ! Je pense qu’on peut éjaculer dans les yeux d’une femme avec amour, consentement un infini respect. 
Je ne crois pas que faire l’amour à sa femme dans la position de l’étoile de mer avec Ruquier en fond sonore et en pensant à sa collègue sexy soit forcément plus respectueux.

Le site gouvernemental tasanté.com en tient aussi une bonne, en nous exposant par le menu la to do list du "respectueux / pas respectueux" ; bref, la vision dogmatique de ce que doit être la sexualité d’une "fille bien".

Les filles bien avalent ce qu’elles veulent

Car les filles n’ont pas forcément plus besoin de tendresse que de sexe, elles n’aiment pas toutes les gros machos violents, mais ne sont pas pour autant forcément à la recherche d’un Prince Charmant.

Elles peuvent regarder du porno en étant féministes, aimer la levrette sans être soumises.

Et ultime tabou, cela va sans dire, les filles bien n’avalent pas : historiquement, avaler la semence masculine, c’est comme faire une douche de Champagne : c’est gâché.

Avec mes petits camarades, sous la direction de l’inénarrable Stéphane Rose, nous en avons fait des listes, des speechs, des quizz, des illustrations ; nous avons fait péter les études statistiques et les pseudo analyses sociologiques, et nous affirmons que les filles bien avalent ce qu’elles veulent, si elles veulent.

Vous n’êtes pas convaincus ? "Les filles bien vont au Paradis. Les mauvaises filles vont où elles veulent !"

Marlène Schiappa était jusqu'à maintenant la comique de la bande, le clown du gouvernement. Elle était risible quand elle plaidait pour le voile à l'école affirmant que l'interdire serait contraire à la loi de 1905. On riait. Elle était grotesque quand s'en prenant à Finkielkraut elle présentait ses quartiers de noblesse : "issue de la société civile, originaire des quartiers populaires, femme et jeune".

Ce n'était plus Marlène Schiappa mais Marlène Poncifs! On s'esclaffait. Elle était ridicule quand elle allait promener son corps devant des migrants du quartier de la Chapelle et annonçait triomphalement qu'elle n'avait été l'objet d'aucun harcèlement sexuel.

Mais maintenant elle est passée au stade supérieur avec des déclarations qui frôlent l'abjection. Evoquant les missions de son secrétariat d'Etat elle a déclaré ceci : " La politique de l'égalité femmes-hommes doit prendre en compte les spécificités des territoires"! Voulant de prime abord lui accorder le bénéfice du doute nous avons cherché à quels territoires elle faisait ainsi allusion.

La Normandie où les Normands complètement défoncés au calvados seraient exceptionnellement autorités à mettre la main aux fesses des Normandes ? La Bretagne où les Bretonnes n'auraient pas le droit de serrer contre elles un biniou? Le Pays basque où le sport national –la pelote- serait autorisé à être pratiqué avec les demoiselles basques ?

Réflexion faite, ça ne peut être ça. Connaissant les engouements de Mlle Schiappa il s'agit évidemment des territoires perdus de la République. Là où une femme ou une fille doit se conformer aux codes vestimentaires imposés par la racaille islamiste. Là où, avec la bénédiction de Marlène Schiappa, s'exerce une égalité femmes-hommes corrigée des variations géographiques. Là où la mini-jupe est considérée comme une provocation insoutenable par les mâles sans défense.

Il y a, selon la pensée de Mlle Schiappa, des femmes moins égales que d'autres. Celles de banlieue devront donc tenir compte des "spécificités " de leur environnement masculin et attendre patiemment –pendant des siècles ?- que les mentalités évoluent. Mais nous savons quand même que Mlle Schiappa est attentive à leurs besoins. Sur le budget de son ministère elle débloquera certainement des fonds pour fournir des bons de tissus à celles qui devront rallonger leurs robes. Et c'est sûr qu'avec son influence elle obtiendra des rabais importants pour celles qui iront s'acheter des niqabs en soie chez Zara ou H&M…

La situation des filles de banlieue a été très bien définie un jour sur le site ni Putes ni Soumises. "Si tu veux être respectée, trois possibilités. Soit tu sors avec un caïd. Soit tu te fais engrosser. Soit tu portes le voile". Tel est l'avenir que Mlle Schiappa envisage pour ces filles-là. Il se peut qu'elle soit conviée, ès-qualités, à la cérémonie solennelle des obsèques de Simone Veil aux invalides. Si elle s'y rend sa présence constituera un crachat sur le cercueil d'une femme qui fut droite, grande et courageuse. 


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/declaration-revoltante-marlene-schiappa-egalite-femmes-hommes-doit-tenir-compte-specificite-territoires-benoit-rayski-3099392.html#lewlx4HvvZaD4ud0.99

L'interview de dans annonce de jolies perspectives dans la lutte contre les et les

3. Les différents degrés de l’Indignomètre

En ordre descendant, de 15 à 1.

 

Pour chaque niveau, un détail de la « juste indignation » et un exemple du fait d’actualité la justifiant.

Indignation force 15 : Convocation au théâtre du rond-point (sur invitation). Et cocktail des Justes dans le salon Mandela. Derrière la cafèt' Jean Moulin. A l’issu de la cérémonie, congratulations, photos presse, puis raccompagnement (discret) avec chauffeur au frais du contribuable.

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : Une de Minute sur Christiane Taubira, lue par 8 lecteurs max - dont le rédacteur en chef du journal - avant le battage médiatique salutaire, qui permis à 60 millions de français d’en prendre connaissance. Et à l’intelligentsia de s’indigner du fait d’actualité qu’elle avait elle-même créé. 

Indignation force 14 : Come-back de Guy Bedos (toujours sur invitation). Et instauration d’un permis de voter pour les électeurs-connards de Nadine Morano.  

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : Identification d’un tireur fou parisien encarté au FN et ex-petit ami de Marion Maréchal Le Pen. Même si Guy Bedos devrait vite trouver une autre justification à son come-back.

Indignation force 13 : Attribution d’une palme d’or à Cannes à un film contre l’homophobie, ou contre le racisme, ou contre le sexisme. Attribution d’une palme d’or en fait.

Faits d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : absence d’engouement populaire pour l’exposition masculin/masculin au Musée d’Orsay, désertion des salles de cinéma à la sortie du film « La marche », baisse d’audience sexiste devant l’émission « le Grand 8 » sur D8 ( et absence de rire dans le public lors d’une vanne de Laurence Ferrari).

Indignation force 12: Placardage d’une « Charte de la résistance » (mais non stigmatisante) dans toutes les écoles de France.

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : prof d’histoire, quelque part en France, ayant soutenu devant ses élèves que les colonisateurs n’étaient pas tous des mâles blancs chrétiens occidentaux hétérosexuels.

Indignation force 11: Dérapage sain de Pierre Bergé sur le monde ouvrier (sur le modèle d’une colère saine de Ségolène Royale).  En bonus, expulsion de Frigide Bardot de son logement.

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : prof de biologie, quelque part en France, ayant soutenu devant ses élèves que la théorie du genre n’était justement qu’une théorie. Avant de proposer l’ouverture d’un « débat », alors qu’il était bien sûr déjà coupable d’un « délit ».

Indignation force 10 : Urination d’une Femen sur la tombe d’un catholique anonyme au cimetière du Père Lachaise ( et insulte à sa veuve venue fleurir le caveau.)

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : Ouverture publique de Notre Dame de Paris à la prière ce matin encore.

Indignation force 9 : Constitutionnalisation de la liste noire de Patrick Cohen. Grève à France Inter.

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : boom de la quenelle. Même au Parc Astérix, c’est dire le danger.

Indignation force 8 : Débat obligatoire à Science Po Paris (mais blocage de tous les autres centres d’étude à travers la France). Grève à France Inter.

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : remise en liberté du néo-nazi Kristian Vikernes, et puis Dieudonné toujours en liberté (faits de même gravité).

Indignation force 7 : Article de « fond » dans l’Edito de Elle, et publi-reportage pour SOS racisme dans le Monde Diplomatique. Grève à France Inter.

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : retour d’Alain Delon dans le comité Miss France, et poursuite des spectacles de Jean Roucas.

Indignation force 6: Tweet rageur de Valérie Trierwiler (mais qui ne passera pas, parce qu’on capte très mal au Défilé Yves Saint Laurent de la Fashion Week).

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : Absence d’invitation de Leonarda au défilé Yves Saint Laurent. Tiédeur du champagne ce jour-là.

Indignation force 5: Coup de gueule d’Augustin Trapenard (qui cette semaine encore n’aura pas eu le temps de lire un livre pour le Grand journal), et d’Aymeric Caron (qui cette semaine encore n’aura pas le temps de comprendre un livre dans On n’est pas couché)

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : Carton du livre « l’Identité malheureuse » d’Alain Finkielkraut qui trouve son public, alors que l’unique ouvrage ( d’entretiens) d’Augustin Trapenard fait une jolie percée à la 217 402eme place du classement des ventes sur amazon.fr

Indignation force 4 : création d’une commission au ministère de la Culture pour faire vivre 30 experts triés sur le carreau pendant 2 mois, et réfléchir à l’égalité tout ça.

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : attribution de la direction d’un théâtre public à un mâle cinquantenaire et bedonnant (profil « client présumé de prostituée et lecteur de Frédéric Mitterrand »).

Indignation force 3 : Création d’un emploi-aidé au ministère des Droit des femmes qui luttera contre le sexisme ordinaire tout ça. 

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : indices concordants de la présence d’hommes continuant à faire pipi debout et à ne pas parler à leur compagne après un rapport sexuel. Alors même que les pays nordiques nous montrent l’exemple juste et égalitaire du pipi-assis, et du « petit debrief » après l’amour.

Indignation force 2 : Chronique gratuite de Bruno Roger-Petit sur le site du Nouvel Obs (mais de quoi vit-il ?)

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : la non-coupure d’électricité chez Bruno Roger-Petit, et le rechargement à 100% de la batterie de son ordinateur portable.

Indignation force 1 : Billet d’humeur de Pascale Clark sur France Inter. (C’est qui Pascale Clarke ? C’est quelle fréquence France Inter ? Mais ils sont pas en grève en ce moment ?)

Fait d’actualité justifiant un tel niveau d’indignation : tout, absolument tout. Du nombre d’enfants d’Hervé Gaymard au prix de la barquette de fraise.


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