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La réalité en face

La réalité en face

Un des maux de notre époque, c'est le refus et l’interdiction de regarder la réalité en face et surtout de la décrire! c'est le Politiquement Correct qui l'empêche! Il conditionne la description et donc la perception du réel! Quand elle est "Non Idéologiquement Conforme", la réalité est occultée, tronquée, manipulée par les media.


Etats Généraux de la BIOETHIQUE - Les français qui ont participé aux EGB rejettent massivement la PMA pour les couples de lesbiennes et les célibataires! MACRON écoutera-t-il ces français? Réponse en septembre.

Publié par Michael Jeaubelaux sur 7 Juin 2018, 12:22pm

Le Président MACRON avait dit qu'il souhaitait qu'il y ait "consensus", or à l'évidence ce consensus sur le droit au sperme, le droit à l'enfant sans rapport sexul pour les lesbiennes et les célibataires qui souhaiteraient avoir un enfant n'existe pas, seule une extrême minorité militante le réclame!
Par ailleurs cette question ne relève pas du clivage Droite-Gauche comme certains aimerait le faire accroire! De nombreuses voix à Gauche, y compris parmi les lesbiennes militantes sont hostiles à ce projet (Jacques Testard, Sylviane Agacinski, José Bové, Michel Onfray, Marie-Jo Bonnet, Bruno Nestor Azérot, Jean-Pierre Chevènement, Charlie-Hebdo, Alexis Escudero, etc...)
Ainsi le Président MACRON ne peut pas légaliser le droit au sperme et le droit à l'enfant sous prétexte d'équilibre droite-gauche de sa politique! En réalité cette légalisation ouvrirait le marché français à un véritable "business de la reproduction artificielle de l'humain", en étendant massivement aux humains des techniques jusque là utilisées majoritairement pour les animaux!
Communiqué de presse – PMA sans père : il n’y a pas de consensus selon le CCNE

Etats généraux de la bioéthique
PMA sans père : il n’y a pas de consensus selon le CCNE

La Manif Pour Tous prend acte des conclusions des états généraux de la bioéthique. Sur la PMA, le Pr Delfraissy, Président du CCNE, a déclaré « je ne vais pas dire qu’il y a consensus. Il y a des gens qui partagent un certain nombre de valeurs mais qui aboutissent à des opinions différentes. » Ces conclusions sont cohérentes et rejoignent les analyses de l’ensemble des observateurs.

Après 4 mois de débats, d’échanges, d’auditions associant experts, représentants de la société civile et des dizaines de milliers de citoyens, on ne peut que constater que la société est aujourd’hui divisée sur les questions sociétales, en particulier sur les enjeux posés par l’évolution de la PMA et par la GPA. Les conclusions des débats citoyens, des auditions et de la consultation sont convergentes et cohérentes.

 

Si le Président de la République s’était prononcé pendant la campagne présidentielle à titre personnel sur l’évolution de la PMA, il avait eu la sagesse et la prudence de le conditionner à l’existence d’un « large consensus » au sein de la société. Ce n’est pas le cas selon les résultats des états généraux présentés ce mardi 5 juin 2018 par le Pr Delfraissy à Agnès Buzyn, Ministre de la santé, Frédéric Vidal, Ministre de la recherche, ainsi qu’à Gérard Longuet et Cédric Villani, respectivement Président et 1er vice-Président de l’OPECST (Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques). Malgré les limites propres à chaque exercice de démocratie participative, les résultats de ces états généraux, prévus par le législateur avant la révision régulière des lois de bioéthique, doivent bien évidemment être pris en compte par l’exécutif. Le Pr Delfraissy ayant en outre déclaré aujourd’hui que la PMA, comme l’euthanasie et le suicide assisté, ne sont pas des sujets de bioéthique, la prochaine révision de la loi de bioéthique ne devrait pas inclure ces sujets de manière directe. Au-delà d’une forte opposition à une modification des règles qui encadrent aujourd’hui le recours à la PMA, les états généraux de la bioéthique ont été l’occasion de soulever d’autres enjeux comme la levée de l’anonymat du don de gamète. Ce sujet sensible pourrait en l’occurence se traduire par des propositions au plan législatif.

 

« Malgré quelques difficultés d’organisation, en particulier au début du processus, ces états généraux ont été un succès grâce à la mobilisation du CCNE et de l’ensemble des parties prenantes. Le large dissensus sur la PMA s’est affirmé, traduisant de profonds clivages au sein de la société, confirmé par la diversité des arguments avancés par les citoyens comme par les experts auditionnés par le CCNE. Au-delà du caractère très médiatique de la question de la procréation, la révision des lois de bioéthique est l’occasion de débattre de nombreux sujets majeurs pour l’avenir de notre société. Big data, génomique, dons et transplantations d’organes, protection des données personnelles, intelligence artificielle, neurosciences, santé et environnement… les enjeux sont énormes. Nous resterons évidemment mobilisés et vigilants lors de la suite du processus pour que les conclusions de ce grand moment de démocratie soit prises en compte » résumeLudovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous.

 

La Manif Pour Tous a par ailleurs réalisé un document témoin de plus de 400 pages sur le volet procréation des états généraux de la bioéthique. Débats citoyens qui ses sont tenus partout en France, consultation en ligne et auditions réalisées par le CCNE : la réalisation de ce document a été possible grâce à l’immense travail accompli par les volontaires du mouvement. Il avait trois objectifs : réaliser un inventaire exhaustif des propositions et arguments, analyser la participation des Français et leurs positions, et présenter la synthèse de leurs vœux. Ce travail sans précédent s’est imposé face à la participation historique des Français qui, une nouvelle fois, ont montré que « la France est le pays de l’éthique ».

 

Contact presse : Héloïse
h.pamart@lamanifpourtous.fr  Tel : +33 (0)6 88 95 94 18
www.lamanifpourtous.fr
twitter.com/LaManifPourTous  –  facebook.com/LaManifPourTous

Macron voulait un consensus sur la PMA. Or il n'y en a pas. Macron va-t-il passer en force ?

 

VIDEO⚡️Excellente intervention de @ChdOrnellas qui pointe l'incohérence du qui en 2005 était contre la à cause du “Droit à l'enfant” et change d'avis en 2017. Elle rappelle que @LaManifPourTous avait prévenu que le mènerait à la /.@SoMabrouk pic.twitter.com/rwHU7LDdXf

 

VIDEO⚡️@ChdOrnellas@EmmanuelMacron avait dit qu'il faudrait un sur la .Or le président du a reconnu qu'il n'y en avait pas,que les gens présents aux étaient majoritairement contre la . va-t-il passer en force?» pic.twitter.com/hsGEJfQwTH

Le Figaro Vox : Éditorial : «Question de conscience»

La consultation est close mais le consensus introuvable. Emmanuel Macron, à l’opposé de la désinvolture de son prédécesseur, avait décidé d’aborder les sujets bioéthiques avec une appréciable précaution. Il a chargé le Comité consultatif national d’éthique d’organiser des réunions publiques pour mesurer les attentes de la société. Il a consulté, en a appelé au peuple, qui s’est déplacé en nombre dans toute la France. Apparemment, pour Jean-François Delfraissy, le patron du CCNE, ce peuple n’était pas le bon.

Hostiles en grand nombre à l’extension de la PMA, ces citoyens ne sont donc pas «représentatifs», ce sont des «militants». La preuve? Les sondages disent l’inverse. Si les sondages suffisent, pourquoi donc ces états généraux? Même imparfaits, ces travaux ont fait la preuve que l’extension de la PMA aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires continue de diviser notre société.

«Quel monde voulons-nous pour demain?», demande le préambule des états généraux. Une question de civilisation. Les désirs individuels d’enfant participent en effet d’un processus vertigineux où science et médecine peuvent déboucher sur la manipulation et la marchandisation du vivant. «Marché du sang, des cellules souches, marchés de la procréation», écrit Sylviane Agacinski. Revêtue de progressisme candide, cette logique mène inéluctablement aux mères porteuses. À quel titre, en effet, l’égalité invoquée pour l’extension de la PMA serait-elle interdite aux hommes? la suite sur http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/06/05/31003-20180605ARTFIG00377-editorial-question-de-conscience.php?redirect_premium

 

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