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La réalité en face

La réalité en face

Un des maux de notre époque, c'est le refus et l’interdiction de regarder la réalité en face et surtout de la décrire! c'est le Politiquement Correct qui l'empêche! Il conditionne la description et donc la perception du réel! Quand elle est "Non Idéologiquement Conforme", la réalité est occultée, tronquée, manipulée par les media.


Chrétiens d'Orient : chez BOURDIN , Jean-François COLOSIMO met les point sur les "I" sur la réalité de ce que l'Occident doit à l'Islam! Sans les chrétiens d'Orient, Aristote n'aurait jamais été transmis par les envahisseurs musulmans...et tout le reste! Et sur FRANCE CULTURE, il accuse le Gouvernement français d'avoir formé une coalition contre "DAECH" en y incluant les financeurs de l'islamisme : l'Arabie Saoudite, la Turquie, le Qatar et les Emirats Arabes Unis!

Publié par Michael Jeaubelaux sur 6 Avril 2015, 20:31pm

Jean-François COLOSIMO est une homme admirable et courageux, il faut écouter attentivement toute son interview, tant elle est dense, sans la moindre langue de bois (sauf en ce qui concerne la violence et l'islam, sujet trop explosif pour en débattre dans ce cadre...on se souvient des conséquences d'une simple conférence de Benoit XVI à Ratisbonne qui avait eu le malheur de citer une phrase d'un auteur ancien à ce sujet...).

http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/jean-francois-colosimo-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-489765.html

Il faut aussi écouter très attentivement l'interview donnée à France Culture :

"La grande Civilisation Arabo-Musulmane est impensable sans les chrétiens" d'Orient." ..."Cette dette est impensable par une Europe qui se veut comme "née sous X"!"..."Les Chrétiens d'Orient sont des médiateurs", "ils ont survécu par la piété, par la verticalité" ...

(20'40") : " A Paris nous ne voulons plus avoir le sens de nos devoirs historiques, nous avons été avec et contre la Russie, nous avons été les protecteurs des chrétiens d'Orient, aujourd'hui pour complaire à Washington, nous avons formé une coalition à Paris qui comporte les financeurs de l'islamisme, lequel islamisme peut toujours devenir un djihadisme, lequel djihadisme peut toujours déboucher sur du terrorisme, à savoir L'ARABIE SAOUDITE, LA TURQUIE, LE QATAR et LES EMIRATS (ARABES UNIS).

Et nous avons mis au dehors de cette coalition, la Russie, pour l'affaire d'Ukraine, et l'Iran pour l'affaire du Nucléaire. Or il faut le savoir, il n'y aura pas de règlement possible de toute cette question sans ces deux pays..."

http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4993135#

Ecoutez aussi ces conférences données à l'occasion de la publication de son livre.

https://www.youtube.com/watch?v=bOjIQzmpUB0

https://vimeo.com/111909885

12 septembre : Benoît XVI est en visite à Ratisbonne, où il fût longtemps professeur de théologie. Dans un discours sur les rapports entre la raison et la foi, il évoque l'islam. Et cite notamment un empereur byzantin du XIVe siècle : « Montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu ne trouveras que des choses méchantes et inhumaines, comme son ordre de diffuser par les moyens de l'épée la foi qu'il professait ».

13 septembre : Le président de la communauté pakistanaise en Italie et membre de la consultation sur l'islam demande au Pape de retirer ses déclarations. « J'espère que ces propos ne seront pas utilisés par les fondamentalistes islamistes », déclare-t-il.

14 septembre : Réactions très virulentes en terre d'islam. Un responsable koweitien appelle tous les pays musulmans à rappeler leurs ambassadeurs au. En Turquie, la visite du pape en novembre est remise en cause. Au Pakistan, l'Assemblée nationale juge les propos papaux « malheureux », « regrettables », et « irresponsables ». Un responsable musulman allemand souligne que l'église catholique est mal placée pour donner des leçons, citant « la sanglante christianisation forcée de l'Amérique du Sud, les croisades dans le monde islamique, le fait que l'Eglise se soit laissée récupérer par le régime nazi ». En France, Dalil Boubakeur demande à Benoît XVI de « clarifier sa position ». Au Vatican, on tente de calmer le jeu. Le cardinal Poupard met en garde contre une « instrumentalisation » du discours de Ratisbonne. Puis, le directeur de la salle de presse s'exprime officiellement : « l'intention du pape n'était pas d'entreprendre une étude globale sur le Djihad, et encore moins d'offenser les croyants musulmans ». (La déclaration en anglais)

15 septembre : La grogne populaire monte. En Inde, des milliers de fidèles répondent scandent des appels à la vengeance. La chancelière allemande Angela Merkel prend la défense du pape : « Tous ceux qui ont critiqué le pape ont mal compris le dessein de son discours. C'était une invitation au dialogue entre les religions. »

16 septembre : Des églises sont attaquées en Cisjordanie, à Gaza, et en Irak. Le Secrétaire d'Etat du Vatican assure que le pape est « absolument désolé que certains passages de son discours aient pu paraître offensants pour la sensibilité des croyants musulmans » (lire sa déclaration). Des « excuses » jugées insuffisantes. Le Maroc rappelle son ambassadeur au Vatican, et l'Egypte convoque le nonce apostolique (ambassadeur papal).

17 septembre : En Somalie, Soeur Leonella Sgorbati, 70 ans, est tuée dans un hôpital de Mogadiscio par des hommes armés. Le pape fait sa première apparition publique depuis son discours à Ratisbonne. Il se dit « vivement attristé » par les réactions provoquées par une citation médiévale « qui n'exprime en aucune manière sa pensée personnelle » (Lire l'allocution de Benoît XVI).

18 septembre : Pour l'Iran, la réponse du pape ne suffit toujours pas. Des effigies de Benoît XVI sont brûlées, et un groupe armé irakien promet la guerre : « Nous briserons la croix et ferons couler le vin. Allah aidera les musulmans à conquérir Rome », déclare le Conseil des moudjahidines. Dans une rare offensive diplomatique, le Vatican appelle à la rescousse ses nonces. Objectif : expliquer aux autorités religieuses et politiques des pays musulmans les propos de Benoît XVI.

19 septembre : les responsables musulmans italiens déclarent que « le chapitre est clos ». Le Vatican ajoute que le discours de Ratisbonne est « provisoire » et que le pape « se réserve le droit de l'enrichir de notes ».

20 septembre : Benoît XVI répète que cette polémique est le fruit d'un « malentendu », et invite toutes les religions à « l'autocritique ». Pourtant, 200 dignitaires musulmans manifestent à Hébron pour exiger des excuses officielles. Certains estiment que ses déclarations sur l'incompréhension « reviennent presque à accuser les gens d'absence complète de perspicacité ».

25 septembre : Benoît XVI participe à la « rencontre exceptionnelle » avec les ambassadeurs des pays musulmans à Castelgandolfo, retransmise en direct. « Chrétiens et musulmans doivent apprendre à travailler ensemble, pour se garder de toute forme d'intolérance et s'opposer à toute manifestation de violence », déclare-t-il.

29 septembre : alors que les dignitaires musulmans font baisser la tension, Ayman al Zaouahri, numéro 2 d'al-Qaïda, qualifie benoît XVI d' « imposteur ».

9 octobre : le site internet du Vatican met en ligne la version annotée du discours de Ratisbonne.

15 octobre : 38 hauts dignitaires musulmans de plus de 25 nationalités signent une lettre destinée à Benoît XVI. Ils réfutent les affirmations théologiques du pape « dans un esprit d'échange et d'ouverture » et soulignent que le Christ a déclaré : « Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive ». (La lettre et la liste des signataires en PDF).

28 novembre : Benoît XVI est finalement accueilli en Turquie par Erdogan. Le premier ministre turc déclare que cette visite va contribuer à la « paix mondiale ».

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