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La réalité en face

La réalité en face

Un des maux de notre époque, c'est le refus et l’interdiction de regarder la réalité en face et surtout de la décrire! c'est le Politiquement Correct qui l'empêche! Il conditionne la description et donc la perception du réel! Quand elle est "Non Idéologiquement Conforme", la réalité est occultée, tronquée, manipulée par les media.


PMA SANS PERE SONDAGES FÊTE DES PERES - Sondage La Croix : 93% des français considèrent que le père joue un rôle essentiel, 61% [72% des pères] disent qu'il faut privilégier "le besoin de chaque enfant à avoir un père" et ne pas légaliser la PMA sans Père pour les couples lesbiens et les célibataires! "Bonne Fête aux Papas"!"

Publié par Michael Jeaubelaux sur 15 Juin 2018, 09:44am

Les sondages sur la PMA Sans Père, "le droit au sperme" pour les lesbiennes et les femmes célibataires se suivent et ne se ressemblent pas... mais sur le rôle essentiel du père, "il n'y a pas photo!" : 93% des français répondent qu'il est essentiel...

7% seulement répondent "Le père on s'en fiche!", comme la petite MENESSON (militants de la légalisation de la GPA via leur association CLARA et soutenu par l'activiste lesbienne, l'avocate Caroline MECARY) née d'une GPA, au "débat" qui a eulieu sur France 2.

 A la question suivante :

"Sur la PMA pour les femmes seules ou les couples de femmes, c'est à dire la conception d'un enfant sans père, de laquelle de ces deux affirmations vous sentez-vous le plus proche? 

les français répondent à 61% :

"Il faut privilégier le besoin de chaque enfant d'avoir un père en réservant la PMA aux couples homme-femme ayant un problème d'infertilité"

C'est clair! Les français donnent la priorité à l'enfant plutôt qu'aux désirs délirants d'adultes pour qui leurs désirs doivent devenir des droits!

"Si on présente le droit de l’enfant à avoir un père, ils sont majoritairement opposés à une évolution de la loi. »...
MACRON devra donc choisir entre l'ouverture d'un droit et l'intérêt de enfants, or MACRON quoiqu'il en dise n'a jamais été ni père, ni grand-père... il n'a jamais eu d'enfant avec son épouse Brigitte!
Or comme le souligne Jérôme FOURQUET "58 % des pères sont tout à fait d’accord lorsqu’on leur demande si « l’absence de père est quelque chose qui marque toute une vie ». Le chiffre tombe à 41 % pour les hommes qui n’ont pas d’enfants. Soit une différence de 17 points.... Et MACRON fait partie de la seconde catégorie.

MACRON va-t-il faire une loi sur une base ("le père on s'en fiche") que rejette 93% des français et 72% des pères!

Les Français  tiennent au père

(Source La Croix) - À deux jours de la fête des pères, dimanche, un sondage Ifop mené pour Alliance Vita met en lumière l’importance de la figure paternelle.

Une donnée essentielle dans le débat entre les partisans et les opposants de l’extension de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules.

C’est une information qui devrait compter dans les débats bioéthiques du moment.

Un sondage Ifop commandé par Alliance Vita (1) et dévoilé aujourd’hui par La Croix souligne l’importance et la singularité de la figure du père aux yeux des Français. Pour l’association, il s’agit avant tout de braquer les projecteurs sur l’un des enjeux des discussions actuelles sur l’extension de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules, envisagée dans le cadre de la révision des lois de bioéthique.

Ainsi, 93 % des Français considèrent que les pères ont un « rôle essentiel pour les enfants », tandis que les trois quarts d’entre eux adhèrent à l’affirmation selon laquelle « les rôles du père et de la mère sont différents et complémentaires » ; et 89 % jugent que « l’absence de père, c’est quelque chose qui marque toute la vie ».

« Il est frappant de voir à quel point le rôle du père est consensuel, alors que nous assistons aujourd’hui à un fort questionnement de son rôle », analyse le délégué général d’Alliance Vita, Tug­dual Derville. 

« Il apparaît aussi clairement que le fait de connaître son père relève de l’intérêt supérieur de l’enfant pour une majorité de nos concitoyens », poursuit-il.

À un moment où la question sur la PMA polarise toutes les attentions, selon ce sondage, 61 % des Français estiment qu’« il faut privilégier le besoin de chaque enfant d’avoir un père en réservant la PMA aux couples homme-femme ayant un problème médical d’infertilité ». Mais 39 % jugent plutôt qu’« il faut privilégier le désir d’enfant en permettant la PMA sans père pour les femmes seules ou les couples de femmes ».

Des chiffres qui peuvent surprendre comparés aux autres enquêtes menées par l’Ifop, notamment celles publiées dans La Croix et L’Obs en janvier, ou encore cette semaine par Ipsos pour France Télévisions.

Ces enquêtes donnaient systématiquement des proportions opposées quant à l’adhésion des Français à l’extension de la PMA : 60 % y étaient favorables, 40 % étaient contre.

« Ces résultats ne sont absolument pas contradictoires », affirme Jérôme Fourquet, le directeur du département Opinion et Stratégies de l’Ifop. 
« Tout dépend de la manière dont on pose la question : si on met en avant l’ouverture d’un droit, en demandant aux Français s’ils sont pour une extension de la PMA, ils y sont majoritairement favorables. En revanche, si on présente le droit de l’enfant à avoir un père, ils sont majoritairement opposés à une évolution de la loi. »
Faut-il y voir un signe de la versatilité de l’opinion publique ? 
« Non, répond Jérôme Fourquet. Quelle que soit la question, vous avez 40 % de gens qui sont favorables, 40 % d’opposés, et 20 % qui oscillent. Ce sont ces derniers qui portent la tension éthique et dont la réponse peut varier selon la façon dont la question est posée. »
Si les Français portent un regard très majoritairement positif sur le rôle des pères, il existe cependant des différences d’approche, notamment entre les hommes qui sont pères et ceux qui ne connaissent pas l’expérience de la paternité.
Ainsi 58 % des pères sont tout à fait d’accord lorsqu’on leur demande si « l’absence de père est quelque chose qui marque toute une vie ».
Le chiffre tombe à 41 % pour les hommes qui n’ont pas d’enfants. Soit une différence de 17 points.
Autre intervalle notable : celui qui s’établit entre les générations : 39 % des 18-24 ans estiment qu’il ne faut pas étendre la PMA, alors qu’ils sont 78 % des plus de 65 ans. 
« C’est la preuve qu’au fur et à mesure des générations, les références traditionnelles vont être chamboulées », estime Jérôme Fourquet.
Une analyse que ne partage pas Tugdual Derville, le délégué général d’Alliance Vita. 
« Je ne pense pas que nous soyons face à une évolution inéluctable, avance-t-il. J’y vois plutôt le poids de l’expérience : lorsque l’on est père, on se rend davantage compte de la nécessité de cette présence. Dans tous ces sujets, l’expérience de la vie n’est pas inutile. »
Loup Besmond de Senneville

 

Riche d'un père : 93% des français sont sur la même longueur d'onde!

Amandine Begot 
Amandine Begot
 
 
 
 
 

La fête des pères a lieu dimanche 17 juin mais La Croix prend un peu d'avance.

Le quotidien catholique publie une grande enquête sur la place des papas. "Les Français tiennent au père", titre le journal. 93% des personnes interrogées considèrent que les pères ont un rôle essentiel pour les enfants.

Les 3/4 estiment que les rôles du père et de la mère sont différents et 89% jugent que l'absence d'un père, c'est quelque chose qui marque toute la vie.

[ A la question suivante : "Sur la PMA pour les femmes seules ou les couples de femmes, c'est à dire la conception d'un enfant sans père, de laquelle de ces deux affirmations vous sentez-vous le plus proche? 

les français répondent à 61% : "Il faut privilégier le besoin de chaque enfant d'avoir un père en réservant la PMA aux couples homme-femme ayant un problème d'infertilité"

C'est clair! Les français donnent la priorité à l'enfant plutôt qu'aux désirs délirants d'adultes pour qui leurs désirs doivent devenir des droits!]

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